Tai Chi Chuan
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"Profitons de l'occasion pour rappeler que
la peinture est l'art de la couleur et des signes.
Les signes expriment la force, la volonté, l'idée.
La couleur exprime la magie."
Alberto Magnelli
1888 Florence-1971 Meudon
1957
John Marin peintre, né à Rutherford (États Unis) 1870 - 1953
Ojo de Culebra
Madrid, décembre 2015
Concert Fip, Paris 2012
Le sculpteur Jean Tinguely photographié par R.Doisneau
Men walkin' 'long the railroad tracks
Des hommes qui marchent le long des voies de chemin de fer
Goin' someplace there's no goin' back
Allant quelque part, un lieu sans retour
Highway patrol choppers comin' up over the ridge
Les hélicoptères de la police des autoroutes surgissent au-dessus de la crête
Hot soup on a campfire under the bridge
Une soupe chaude dans un feu de camp sous le pont
Shelter line stretchin' round the corner
Une ligne de refuge se déroule autour du coin
Welcome to the new world order
Bienvenue dans le nouvel ordre mondial
Families sleepin' in their cars in the southwest
Des familles dormant dans leur voiture dans le sud-ouest
No home no job no peace no rest
Pas de maison, pas de boulot, pas de paix, pas de repos
The highway is alive tonight
L'autoroute est vivante ce soir
But nobody's kiddin' nobody about where it goes
Mais personne ne se soucie de personne a propos d'où il va
I'm sittin' down here in the campfire light
Je suis assis ici dans la lumière du feu de camp
Searchin' for the ghost of Tom Joad
Cherchant après le fantôme de Tom Joad
He pulls prayer book out of his sleeping bag
Il retire le livre de prières de son sac de couchage
Preacher lights up a butt and takes a drag
Le prêcheur allume un mégot et prends une bouffée
Waitin' for when the last shall be first and the first shall be last
Attendant après le moment où les derniers seront les premiers et les premiers les derniers
In a cardboard box 'neath the underpass
Dans un carton dans le passage souterrain
Got a one-way ticket to the promised land
Tu as un ticket sans retour pour la terre promise
You got a hole in your belly and gun in your hand
Tu as un trou dans le ventre et un flingue dans ta main
Sleeping on a pillow of solid rock
Dormant sur un oreiller de rocher dur
Bathin' in the city aqueduct
Te baignant dans l'aqueduc de la ville
The highway is alive tonight
L'autoroute est vivante ce soir
But where it's headed everybody knows
Mais où cela mène, tout le monde sait
I'm sittin' down here in the campfire light
Je suis assis ici dans la lumière du feu de camp
Waitin' on the ghost of Tom Joad
Cherchant après le fantôme de Tom Joad
Now Tom said "Mom, wherever there's a cop beatin' a guy
Maintenant Tom as dit "Maman, partout où il y a un flic qui tabasse un gars
Wherever a hungry newborn baby cries
Partout où un nouveau-né affamé pleure
Where there's a fight 'gainst the blood and hatred in the air
Où il y a un combat contre le sang et de la haine dans l'air
Look for me Mom I'll be there
Cherche après moi, Maman je serai là
Wherever there's somebody fightin' for a place to stand
Partout où il y a quelqu'un qui se bat pour un endroit où vivre
Or decent job or a helpin' hand
Ou un boulot décent ou une main tendue
Wherever somebody's strugglin' to be free
Partout où quelqu'un se bat pour être libre
Look in their eyes Mom you'll see me. "
Regarde dans ses yeux, Maman tu me verras"
The highway is alive tonight
L'autoroute est vivante ce soir
But nobody's kiddin' nobody about where it goes
Mais personne ne se soucie de personne a propos d'où il va
I'm sittin' downhere in the campfire light
Je suis assis ici dans la lumière du feu de camp
With the ghost of old Tom Joad
Avec le fantôme du vieux Tom Joad
Respect 1967 (Otis Redding)
The Blues Brothers
Rachid Taha "Ya Rayah"
Leonard Cohen Helsinki 2010
Leonard Cohen "The Partisan" 2008 (Finland)
Alain Souchon "C'est déjà ça"
Pure Love (Londres 2004)
John Coltrane (sax), Elvin Jones (drums), McCoy Tyner (piano), Jimmy Garrison (bass)
v
Paul Simon Graceland par Celtiemama
Zimbabwe 1987
Paroles de Pierre Dac
Avec Francis Blanche en 1953
Mine de crayon,
Lorsque sans parti pris, on établit le bilan d'l'humanité
D'aujourd'hui, y d'vient limpid' comme
Un clair de lune et lumineux comme
Un clerc de notaire,
Qu'c'est pas d'sitôt qu'les hommes s'ront frères
Et qu'malheureusement au contraire, nous vivons à présent
Sous le signe affligeant de la haine et d'ses affluents
C'est triste et déprimant !
Y a de la haine partout, y a d'la haine tout autour de nous
Surtout partout où, tout s'passe par en d'ssous
De mémoire de grincheux, jamais dans les yeux
On n'vit tant d'regards haineux
Ah y en a t-i', y en a t-i', de cette haine qui
Soule les esprits qui, perde le sens d'la fraternité
Et ainsi de suite et l'altruisme aussi
Hélas ! hélas ! l'altruisme est foutu y a pas plus d' altruiste
Que de beurre au r'bus, y a plus que d'la haine
Si bien que dans l'pays bientôt, tout le monde sera haÏ
Mais là où ça se complique, où ça vire au tragique
C'est qu'la haine devient pour chacun, une espèce de besoin
Que d'authentiques sagouins entretiennent de près comme de loin
Y a d'la haine de toutes les nuances, d'la haine standart ou d'circonstances
Y a d'la haine de bon ton pour les haineux d'salon
Et de la grosse haine de confection
Mais de toutes les façons:
Y a trop de haine oui, y a trop de haine
Et y a trop d'haineux, ça tourne au scabreux ,et au scandaleux
Car certains haineux en arrivent même entre eux, a s'traiter de tête d'haineux
C'est un cercle vicieux, car quand un haineux, hait un autre haineux,
celui qui hait est aussi, par l'autre haï de même que celui
Qui est haï haïssant celui dont il est haï, chaque haï donc est un haï qui hait
Ce qui fait qu'en fin d'compte, on peut voir comm'ça
L'haï ici est l'haï là
Haine par çi, haine par là
Ha! y en a ti de la haine, i çi çi bas.
Une chose étrange m'inquiète en ce moment ;
je ne l'ai vraiment réalisée que dimanche dernier,
dans le milieu de l'après-midi.
J'étais dans la salle de bain, devant le miroir,
et je me livrais à une double observation scrupuleuse
physique et mentale de mon visage.
Il devait bien y avoir un doute, car ce n'est pas sans
raison que l'on s'observe ainsi...
Et bien, ce jour là, je ne me suis pas reconnu !
J'étais pourtant certain d'être toujours moi-même,
d'ailleurs, il suffisait que je fasse disparaître le miroir pour me retrouver.
C'est ce que je fis, raisonnablement : je le cachais, comme on cache une boîte de
dragées pour ne pas les avaler en bloc ;
C'est à dire que, subrepticement, en essayant de ne pas éveiller mon attention, je le
dérobai à sa cachette et m'y examinai avec beaucoup de soin,
puis je le dissimulai à nouveau...
Et maintenant, de jour en jour, pour ne pas dire d'heure en heure, je sens bien que
l'image me tire,
et que je deviens l'Autre,
irrémédiablement.
Dom,1992
Eric Clapton, Buddy Guy, B.B.King, Jimmie Vaughan 2004
Gare de Clamart,collage
"On est con mais pas au point de voyager" Beckett.
musique:Noah Lewis "Chickasaw Special" (1929)
Rafraichissant,et on en a bien besoin..;